Au cœur de l’arbre une métamorphose, c’est la lumière autour qui compte.
Le ciel gronde, les corps attendent l’eau, soif et vertige des lumières qui tombent.
Tout est dans le titre.
Des flammes s’échappent d’un petit soleil matinal comme les promesses d’un beau jour..
il y a de la matière, mais c’est le vent, le plus important, c’est ce qu’on ne voit pas.
Le cœur d’un arbre au milieu d’un désert africain, sécheresse mais promesse de la lumière.
De la lourdeur mais comme un appel au dépassement, la lumière qui scintille qui aspire à regarder ailleurs.